La nette amélioration signée hier de son temps référence entre Port Louis et le cap de Bonne Espérance (2 jours et 19 heures) n’a en rien incité Francis Joyon à lever le pied ou à altérer le rythme infernal impulsé depuis les côtes d’Amérique du Sud. Car pour le marin, confronté aux âpres réalités du …
Lire la suite